jeudi 5 mai 2011

Préparation du stage

L'adolescence est une grosse période de notre vie où nous devons faire des choix très importants, comme le métier que nous excerons plus tard. Pour cela, il nous faut être bien préparé et je crois que le projet « 48 heures dans les bottines de... » nous permettra de structurer nos idées. Dans ce texte, je parlerai de moi, de mes attentes envers mon éventuel métier et de ce métier.

Pour commencer, je suis une personne très dynamique. J'ai une personnalité très colorée et je ne me gène pas pour dire ce que je pense. J'aime être avec les gens, les écouter, les aider. Avoir un bon contact avec les gens est très important pour moi. De plus, j'ai un très grand sens de l'organisation. J'aime que mes choses soient en ordre, de sorte que je ne perde rien. J'aime planifier afin que tout soit en structuré. Je me considère aussi très persévérante car il faut que je termine tout ce que je commence pour être entièrement satisfaite. Par contre, je suis très impatiente. Les longues attentes ou les travaux de grande durée sont une épreuve pour moi. De plus, la minutie n'est pas très présente chez moi. J'ai plutôt tendance à être brusque. On peut ajouter à tout cela une difficulté à être concentrée de très longs moments. D'ailleurs, j'ai beaucoup de difficulté à ne pas parler. Garder le silence est très dur pour moi. Je crois même que c'est l'un de mes gros problèmes. Pour ce qui est de mes intérêts, ils tournent beaucoup autour de mes amis, du sport et de la musique. On peut donc voir que je suis une personne qui a besoin de bouger et qui aime être avec des gens.

Pour ce qui est de mes attentes, j'en ai quelques-unes qui me tiennent beaucoup à cœur. Comme je l'ai dit plutôt, j'aime bouger, donc ça me prend un métier où je dois travailler physiquement. Un métier qui me confinerait dans un bureau n'est vraiment pas idéal pour moi. De plus, il m'est très important d'avoir un contact constant avec les gens car j'aime être avec d'autres personnes, interagir avec elles. L'idéal serait de combiner mon côté social, « leader » et scientifique. J'aime diriger, décider et j'ai une très grande curiosité intellectuelle. Il faut que je prenne des décisions par moi-même et il faut que j'aie le sentiment d'être importante. J'aime organiser et planifier les choses donc j'aimerais bien que mon métier ait aussi un côté « gestion ». J'ai beaucoup d'intérêts pour les métiers dans le domaine de la santé. J'aime venir en aide aux gens, mais sans nécessairement être médecin. Le sang, ce n'est pas mon truc. Pour ce qui est du salaire, je dois vous avouer qu'il faut que j'aie un bon revenu, mais il n'influencera pas mon choix. C'est vraiment important pour moi de faire quelque chose que j'aime et qui me passionne.

Après maintes recherches et réflexion, j'en suis venue à la conclusion que le métier de pharmacienne est fait pour moi. Cette profession m'allume énormément et je crois qu'elle colle vraiment à moi. Comme vous le savez sûrement, ce métier consiste à préparer les médicaments et à exécuter les ordonnances des médecins ou des personnes en droit de prescrire celles-ci. Il doit aussi informer les spécialistes de la santé à propos des ingrédients médicinaux et de leurs effets sur la santé des bénéficiaires. La pharmacienne a plusieurs tâches précises. En voici quelques-unes: Évaluer les besoins médicamenteux des clients, préparer les médicaments, vérifier les ordonnances pour s'assurer que les doses sont exacts et qu'aucun mélange toxique ne soit présent, tenir un dossier pharmacologique pour chaque client, etc. La pharmacienne peut aussi veiller à la gestion de la pharmacie si celle-ci lui appartient. Le métier exige d'aimer planifier, influencer, observer. Il faut aimer aller plus loin, chercher des solutions pour tous les problèmes.
Le salaire d'une pharmacienne est très bon. Le minimum moyen est de 59000 $ à 64999 $ et le maximum moyen est de 85000 $ à 99999 $. Les heures de travail varient beaucoup, tout dépendant du poste. Une pharmacienne peut travailler le soir, la fin de semaine et les jours fériés. Les conditions de travail sont très bonnes, puisque que c'est dans un endroit où la température est contrôlée, mais il faut avoir une bonne forme physique puisqu'elles sont toujours debout. Une pharmacienne peut bien sûr, travailler dans une pharmacie, mais elle peut très bien travailler dans un hôpital, ou bien enseigner ce métier.

Les perspectives ce cet emploi sont, selon ce site, très favorables. Pour pratiquer le métier de pharmacienne, il faut obtenir un BAC en Pharmacie, ce qui fait environ 4 ans d'université. Il faut aussi faire partie de l'Ordre des pharmaciens du Québec pour pouvoir porter le titre de Pharmacien. Un élève qui est présentement en secondaire 4 doit faire environ huit autres années d'étude pour devenir pharmacien. De plus, un étudiant qui veut être admissible pour ce programme doit obligatoirement obtenir un DEC en sciences, lettres et arts ou en sciences de la nature. Il doit aussi posséder un bonne connaissance générale du français. Les Établissements au Québec qui donnent cet enseignement sont L'université de Montréal (Doctorat de 1er cycle) et l'université Laval à Québec (Baccalauréat). Une personne qui veut être pharmacien doit posséder quelques-unes de ces qualités: Le sens de l'organisation, de l'entregent, de l'intégrité, de la patience, de la curiosité, etc. De plus, il faut aimer travailler physiquement, communiquer avec les gens, comprendre des phénomènes, planifier ses propres horaires, etc.

Je crois vraiment que ce métier est fait pour moi. J'adore avoir un contact avec les gens. C'est un parfait mélange avec mon côté social et mon côté plus scientifique, réfléchi. Les tâches m'allument de A à Z. Mon côté persuasif sera mis au profit, tout comme mon désir de toujours vouloir résoudre des problèmes. Les avantages sont beaucoup plus nombreux que les inconvénients et je crois vraiment vouloir faire ce métier plus tard.

Pour conclure, je crois qu'il est important que je réfléchisse bien avant de faire mon choix. C'est une décision qui aura de l'incidence sur le reste de ma vie alors il ne faut pas que je prenne cela à la légère. 

Malchance

Qu’ai-je fais pour avoir cette si misérable vie ? J’ai pourtant toujours été gentille et aimable. Pourquoi le mal de vivre m’emporte-t’il ainsi tout les jours ?


Cela fais maintenant trois ans que ma fille est morte de la leucémie. Mon unique fille, si belle et rayonnante qu’elle était à quitté ce monde beaucoup trop tôt. Depuis, les malheurs se succèdent ; mon mari m’a laissée pour un autre, prétendant que je n’étais plus la même. Le mois suivant, ma mère mourut d’une crise cardiaque dans sa douche et pour finir, j’ai appris il y a quelques mois que je souffre du cancer du sein.

J’ai eu de très dures années. Par chances, il me restait ma pharmacie, la seule et unique raison qui me gardait en vie. Là, je travaillais sans arrêt, tout en essayant de concilier cela avec mes nombreux rendez-vous avec mon médecin et ma psychologue. Celle-ci disait de moi que j’étais suicidaire et dépressive. Comment être heureuse de cette vie médiocre. Elle me prescrivit des antidépresseurs qui m’aidèrent à passer à travers ces longues journées, ces interminables semaines. L’idée de mourir me passait souvent par la tête, mais j’étouffais ces pensées par le travail.

Ce matin-là, j’en avais assez. J’en avais assez de cette vie, de moi. Je voulais en finir une fois pour toutes. L’idée de ne plus jamais souffrir me procurait tellement de bonheur que nul ne pouvait s’imaginer à quel point cet acte me donnait des ailes. Ce matin-là, ma douche fut plus longue et mon café fut le meilleur de tous. Je pris une photo de ma fille et je parti à ma pharmacie. Une fois à l’intérieur, je barrai la porte derrière moi. Ainsi, la pharmacie allait être fermée pour la journée. Je me dirigeai à l’arrière du commerce, là où tous les médicaments étaient. J’avalai tout ce qui me passa sous la main. Ce merveilleux mélange allait enfin me libérer, me disais-je. Je me fis couler un grand verre d’eau froide que je déposai tout près de cet amalgame divin. Puis, j’écrivis une lettre à ma fille. Tout ce que j’aurais rêvé lui dire se tenait sur ce bout de papier. Des années de douleur y étaient écrites. C’est ensuite que je passai à l’acte. Avec tout le courage que j’avais en moi, je pris une grande respiration et j’avalai tout d’un coup. Je n’eu pas le temps de prendre une gorgée d’eau que ma tête tournait déjà. Puis, plus rien.
Inutile de vous dire qu’aujourd’hui, après avoir raté mon coup, le mal de vivre est encore plus gros. Me voilà confinée dans une satanée chaise roulante, avec un cancer du sein avancé et un suicide manqué dans les pensées.

Compte rendu de mon stage en pharmacie

Il y a quelques semaines, j'ai eu la chance de faire un stage dans le métier qui me passionne, soit celui de pharmacien. Durant mon stage, j'ai eu l'occasion d'observer un vrai pharmacien en action. Comme se métier est très dur à enseigner rapidement, j'ai plutôt exercé les tâches qu'un technicien en pharmacie effectues. Donc, j'ai eu l'occasion de faire des commandes, préparer des solutions médicamentées, compter et préparer les prescriptions, etc. Par contre, rien ne ma empêché d'observer comment un pharmacien agit. Comme le milieu pharmaceutique est très confidentiel et fermé, un pharmacien doit user d'une très bonne discrétion. Voici une courte réflexion sur mon stage. 

1. Est-ce que la conception que tu avais de la profession correspondait à ce que tu as vécu en stage ? En quoi était-ce différent ou similaire ?
Oui et non. J'avais effectué beaucoup de recherches avant mon stage donc j'étais bien informé sur les tâches principales d'un pharmaciens. Par contre, rien de peut aussi bien décrire un métier que de le vivre. Les journées d'un pharmaciens sont très exigeantes et cela m'a beaucoup surpris. Ils se doivent de travailler efficacement et rapidement, tout en offrant le meilleur service à la clientèle possible.
2. Qu'est-ce qui t'a le plus marqué dans ton stage ? Pourquoi ?
La vitesse à laquelle les pharmaciens travaillent est impressionnante. Ils ont très souvent plus d'une chose à faire en même temps. Par contre, entre un téléphone et une vérification, ils ont toujours du temps pour leurs clients. De plus, je ne savais pas que c'était un métier aussi exigeant physiquement. Un pharmacien passe la majeure partie de son temps debout. Laissez-moi vous dire qu'à la fin de la journée, la chaise est votre meilleure amie.


3.Qu'est-ce que tu as le plus aimé ? Pourquoi ?
Le fait de travailler en contact constant avec les gens . De plus, vu que j'ai fait mon stage dans une pharmacie dans un petit village, le pharmacien entretient de très bons liens avec ses patients et j'adore cet aspect. 

4.Qu'est-ce que tu as le moins aimé ? Pourquoi ?
Il n'y a rien que je n'ai pas aimé. Par contre, c'est un métier assez éprouvant physiquement car ils sont toujours debout. De plus, comme la pharmacie ne ferme pas sur l'heure de dîner, les pauses sont très rares. C'est la même chose pour les jours fériés et les soirs. L'horaire est très varié.

5. Qu'est-ce que tu as appris sur la profession et sur le marché du travail ?
J'ai appris que le pharmacien fait affaire constamment avec les médecins car ceux-ci ont besoins de conseils concernant la médication des patients qui sont à l'hôpital. De plus, j'ai appris que c'est un métier qui demande beaucoup d'organisation et de savoir.

6. Est-ce que tu te vois pratiquer cette profession plus tard ? Pourquoi ? 
Oui c'est sûr! Je trouve que ce métier concorde beaucoup avec ce que je recherche. Il est le parfait milieu entre les sciences et le côté social.  De plus, je crois que j'ai la plus part des qualités requises pour exercer ce métier.

7. Quelles sont les autres démarches que tu prévois entreprendre pour travailler ton orientation professionnelle ?
Je vais probablement postuler dans les pharmacies près de chez moi et je vais assurément retourner faire quelques journées de stage.

Dans ma famille, il y avait...

Mon arrière grand-père Louis-Claude Guimont pratiquait le métier d'apothicaire-pharmacien. Il travaillait pour une pharmacie dans
le quartier des affaires à Montréal. Le métier de pharmacien à cette époque était beaucoup différent de celui d'aujourd'hui. Dans ces année,soit pendant la deuxième Guerre Mondial, les médicaments
industrialisés n'existaient pratiquement pas. Donc, le pharmacien devait lui même, dans son officine, préparer des onguents, des pommades, etc. C'est pour cela que l'ont utilise l'appellation Apothicaire-Pharmacien.Un pharmacien ordinaire ne fait que conseiller et vendre tandis que l'apothicaire réalise certaines prescriptions.

Par la suite, mon arrière grand-père est devenu représentant pharmaceutique au moment même où la pénicilline a fait son entrée dans le monde pharmaceutique. Donc, il passa plusieurs années à éduquer les médecins à propos de la manière dont il devait utiliser celle-ci. Vous pouvez donc constater que ce métier à beaucoup évolué d'année en année et la tâche des pharmaciens c'est vraiment précisée.


Des métiers qui m'intriguent, qui me passionne.

La vie étant si imprévisible, se prévoir un plan B est, selon moi, une très bonne idée. Dans le cadre du projet d'anglais, j'ai dû choisir deux autres métiers qui m'interpellaient. Après plusieurs 
recherches, je suis venu à la conclusion que les métiers de designer de mode et de chiropraticien seraient envisageable pour moi. Voici le projet que j'ai effectué dans le cadre de ce travail.